18 Mars 2011
En regardant mes pieds, je constatai qu'un volatile zélé avait emprunté (empreinté) un sentier de ciment frais. Il semblait être revenu sur ses pas plusieurs fois, peut-être curieux de la sensation inédite que la matière molle procurait à ses semelles ou simplement réjoui de laisser quelques traces derrière lui.
Vraisemblablement, l’œuvre était collective, je remarquai une pointure plus petite, à moins que l’animal ne soit parti sur la pointe des pattes histoire de se faire voir sans être vu.